dimanche, avril 09, 2017

Surprise

"La peinture doit se débarrasser de l'immobilité pour devenir un moyen souple et riche pour exprimer nos émotions.

"Léopold Survage


La rigueur du cubisme, alliée à l'onirisme du surréalisme: voilà la surprise de Survage!

15 commentaires:

  1. la peinture (comme l'écriture) est une image cachée de nous même !

    RépondreSupprimer
  2. Une peinture qui rejoint le rêve, les pensées qui défilent...J'aime cette vision "animée" de la peinture, elle invite au voyage, à conter l'image...
    Bonne semaine printanière, Miss !

    RépondreSupprimer
  3. "Rigueur" c'est le terme, je dirais même que ce tableau est assez rigide comme tiré au cordeau, au té et à l'équerre...
    J'ai remarqué que tu as ajouté un tableau de Wilfredo Lam sur ton précédent message, c'est curieux qu'il ait été placé à coté de la chaise de Braque, que tu l'aies photographié et que ne le sachant pas je t'aie parlé de ce peintre....

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, bizarre, d'autant plus que je ne me souviens pas vraiment de ce comm. dont tu parles , et que je ne le retrouve pas!
      Marque inconsciente qui m'aurait amenée à retrouver et à exposer cette photo du tableau de W . Lam?
      Transmission de pensée?
      Sur quel billet?

      Il y a plus bizarre : l'impression étrange ressentie par Tilia devant un tableau de G . Manos et qui correspondait à une expérience morbide vécue par le peintre.

      Supprimer
    2. Autre chose bizarre , il a fallu que je revoie sérieusement mes notes et mes photos pour attribuer "la chaise " à son auteur, car je croyais aprês coup, que c'ètait de W . Lam, les cannelures et motifs en S accolés me faisant penser aux jungles souvent représentées par ce peintre,

      Supprimer
    3. Et pourtant tu as publié le commentaire qui de façon détournée menait à Lam et Picasso >

      http://photograff.blogspot.fr/2017/04/filiforme.html

      Sur le message que je donnais en lien >

      http://cergie.blogspot.fr/2011/03/eglise-dauvers-sur-oise-95-sur-le-motif.html

      ... je citai Picasso qui disait à Lam :

      "Je ne me suis jamais trompé sur toi. Tu es un peintre. C’est pour cela que j’ai dit la première fois que nous nous sommes vus que tu me rappelais quelqu’un : moi."

      Phrase que j'avais relevée à l'expo consacrée à Lam, Picasso et Césaire au Grd Palais

      Supprimer
    4. Ah! c'est le seul lien que je n'ai pas envore regardé ( I phone )
      Merci pour l'explication.
      Phrase assez étonnante. Faut -il y voir du narcissisme, ou plutôt lucidité quant à ce qui fait un artiste.

      Supprimer
  4. L'année dernière je suis allée voir une expo consacrée à Amadeo de Souza-Cardoso (1887-1918). Malheureusement ce peintre a disparu beaucoup trop jeune pour avoir laissé une empreinte forte dans la mémoire collective

    http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/amadeo-de-souza-cardoso

    RépondreSupprimer
  5. Coucou. C'est un tableau qui raconte un nombre infini de choses. Il me fait penser un peu à du De Chirico. Bises et belle semaine!

    RépondreSupprimer
  6. En moins inquiétant, me semble-t-il...
    Merci, à toi aussi.

    RépondreSupprimer
  7. Coucou miss Yves.
    Là c'est du cubisme au sens propre (ou presque!)
    Très bonne semaine, A +

    RépondreSupprimer
  8. J'aime cette présentation où le tableau est un peu de travers, pour moi il va très bien avec le tirage au cordeau de la composition.

    RépondreSupprimer
  9. Tu es gentille de transformer en qualité ce qui est un défaut !
    ( il m'arrive assez souvent de photograhier de travers! J'aurais dû écouter ma mère qui m'enjoignait de me tenir droite(

    RépondreSupprimer
  10. La "Vison surréaliste" de Léopold Survage me plait bien.
    Rien à redire du point de vue composition, ni de celui du style "tiré au cordeau" (comme l'a pointé Cergie :-))
    La femme parait prisonnière de ces sortes de HLM et elle me semble éprise de liberté. Postée à sa fenêtre, elle tend les bras dans un geste donnant à penser qu'elle voudrait pouvoir s'envoler pour suivre le grand oiseau blanc qui traverse le ciel.
    En citant De Chirico, Dédé voit juste. Quant à moi, j'ajouterai que la feuille me fait penser à Magritte.

    RépondreSupprimer

Un air printanier

Trois jours avant la date "officielle,"  ciel bleu et soleil sur la Vire           "Immobile, assis sans rien faire, le print...