Etre né coiffé : avoir de la chance
En l'occurence, ce sont les visiteurs et les habitués du musée de Bois-Jugan qui ont bien de la chance, avec cette exposition intitulée avec humour "Coiffes toujours, tu m'intéresses!" visible jusqu'au 30 novembre.
Elle rassemble, pour l'essentiel, les coiffes normandes collectionnées et restaurées par Madame Arlette Poidevin, auxquelles s'ajoutent des pièces, vêtements ou tableaux de musées de la région
(musée de Vire ou musée Quesnel-Morinière de Coutances)
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les coiffes normandes sont aussi compliquées que les bretonnes
RépondreSupprimerCoucou Miss Yves.
RépondreSupprimerJolies les coiffes normandes, elles sortent plus difficilement de la naphtaline que les bretonnes !
Pas facile à porter de nos jours.
Très bon weekend, A +
Quelles merveilles! Les masques servent bien à se concentrer sur les coiffes et à ne rien voir d'autre. J'espère que le savoir continuera à se transmettre en France, j'étais désolée quand j'ai appris l'achat de la dentelle de Calais par les Chinois il n'y a pas si longtemps.
RépondreSupprimerP.J. Hélias décrivait si bien dans son livre le temps passé par les femmes à se coiffer chaque matin avant de sortir, une demi-heure minimum si mes souvenirs tiennent.
elles sont d'une grande élégances ces coiffes normandes tout un patrimoine à conserver
RépondreSupprimerVariantes et aboutissement triomphal du hennin médiéval disparu à la Renaissance, les coiffes régionales ont elles aussi fait leur temps. Heureusement que des passionné(e)s se chargent de les collecter, de les entretenir et de les exposer, pour notre plus grand plaisir !
RépondreSupprimerj'aime ces coiffes ... le long du danube des coiffes cousues au fil d'or un grand souvenir de ma tante, couturière ,qui les réparait ...
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