vendredi, septembre 25, 2020

Sonner, tinter

JEP 20 septembre à Villedieu-les -Poêles,  visite guidée de la fonderie de cloches Cornille-Havard.



"La Fonderie Cornille Havard est l’héritière d’une longue tradition de Fondeurs de Cloches installés à Villedieu-les-Poêles en Normandie depuis le Moyen Âge. 




Dans l’atelier construit en 1865, une centaine de cloches monumentales voient le jour chaque année perpétuant ainsi le savoir-faire et les méthodes des compagnons d’autrefois."

6 commentaires:

  1. Coucou Miss Yves.
    Mieux vaut entendre sonner les cloches!
    Que ce faire sonner les cloches!
    Super se savoir faire qui perdure...
    Très bon weekend, A +

    RépondreSupprimer
  2. Nous avons dormi à Villedieu-les-Poêles, il y a quelques années mais nous n'avons pas visité la fonderie de cloches. Néanmoins, j'ai ramené une petite cloche en cuivre qui d'une année à l'autre sert à annoncer le Père Noël aux petits de la famille :-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je pensais me servir des cloches pour annoncer les repas mais ne m'en sers jamais

      Supprimer
  3. Et non pas tintinnabuler même si lorsque mes petits enfants jouent avec mes cloches de vache ils nous cassent les oreilles
    Mon mari est très féru en fonderie. D'ailleurs hier lorsque nous sommes passé boulevard Auguste-Blanqui dans le 13ème il s'est régalé à contempler et commenter les dessous du métro aérien : beau travail de la fonte, art et en même temps savoir-faire, et puis les petits arceaux de brique... On ne saurait plus faire de nos jours (on n'aurait surtout pas les moyens de le faire ai-je pensé)

    RépondreSupprimer
  4. PS en passant mon mari m'a montré l'emplacement des anciens locaux du journal le Monde. Il est un guide épatant

    RépondreSupprimer
  5. Merci Miss pour le poème de Charles Vildrac si joliment adapté à mon parterre de pommes.
    Bonne soirée

    RépondreSupprimer

Journée des peintres (2)

à l'abbaye de Cerisy-la -Forêt  Pauline Bailly,qui a exposé à Gratot ,  a mis en scène une femme-nuage dont le cou s'orne d'un c...