samedi, juin 02, 2018

Escapade vendéenne 3 : ça ne manque pas de sel


  Aux yeux d'une habituée du  bocage normand, les marais salants vendéens dépaysent et charment, tandis que le paludier, si petit dans ce paysage, impose le respect.


Imaginons- les couleurs du soleil couchant se reflétant dans les oeillets .



Article de Géo sur l'histoire de la route du sel en Vendée et en Bretagne

9 commentaires:

  1. je suis plus familière des marais de Guérande... mais le travail est le même, le soir les oiseaux doivent aussi être bien présent

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  2. Quand le sel de mer devient "le sel de la terre" le petit paludier prend toute son importance.

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  3. Sur la deuxième et la troisième photo, on voit bien la différence de niveau entre le bassin du premier plan et les suivants. Mais comment l'eau de mer arrive-t-elle jusqu'à lui ?...

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    1. Bonne question .
      Par des chenaux, je crois .

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  4. Allez, je viens mettre mon grain de sel et admirer les photos. Très dépaysant pour moi aussi. Bises alpines et belle semaine qui s'annonce déjà.

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    1. Ton humour est piquant !
      Merci, à toi aussi.

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  5. Il y a bien sûr des canaux quelque part qui arrivent à ces bassins... Titre invitant!

    http://www.lepaludier.com/fr/salines-fonctionnement

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  6. J'en ai photographiés aussi vers le marais poitevin. J'avais acheté à Guérande de la fleur de seul. Je trouve que c'est un beau métier que d'être paludier.
    Belle journée !

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  7. Coup de coeur pour ces belles lignes tout en douceur !

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Comme des poissons dans l'eau

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