dimanche, juin 30, 2013
samedi, juin 29, 2013
Un peu de fraîcheur
au coeur de l'été.
Promenade familiale,
déambulations en long et en large
devant le Grand Hôtel de Cabourg, lieu proustien par excellence.
(Articles personnels ici et là
+ vidéo ,/les manuscrits de Marcel roust et la célèbre "petite madeleine")
lien aimablement communiqué par Raymond Furlotte)
Le grand salon surnommé "l'aquarium"avec ses larges baies vitrées donnant sur la mer, invite à la rêverie, ou à une réflexion sociologique , comme celle du narrateur :
.."Une grande question sociale, de savoir si la paroi de verre protègera toujours le festin des bêtes merveilleuses et si les gens obscurs qui regardent avidement dans la nuit ne viendront pas les cueillir dans leur aquarium et les manger "
M. Proust , A l'ombre des jeunes filles en fleurs
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On peut aussi y déguster des pâtisseries , jouer à y retrouver des impressions perdues:
"Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu.
Ce gôut, c'était celui du petit morceau de madeleine que, le dimanche matin à Combray, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul..."
M. Proust , A la recherche du temps perdu , Combray
Les villas anciennes sont aussi les témoins d'une époque révolue.
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(photos personnelles: août 2012)
vendredi, juin 28, 2013
Jardin miniature
jeudi, juin 27, 2013
Crachin
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Sérénade sans couac
belle rainette attirée
têtards espérés
belle rainette attirée
têtards espérés
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Concours de crachats
Les arroseurs arrosés
Pas de lauréat !
Les arroseurs arrosés
Pas de lauréat !
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mercredi, juin 26, 2013
Aquaciel
"Le sourire, arc-en-ciel des larmes " Jules Renard, Journal
Sous l’arc en ciel
Une course d’escargots
Le merle moqueur
Une course d’escargots
Le merle moqueur
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mardi, juin 25, 2013
Prestidigitation
la belle digitale
joue des tours à notre cœur
attention danger
joue des tours à notre cœur
attention danger
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lundi, juin 24, 2013
Centaurée ou bleuet ?
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Que l'été mêle aux blonds épis
Emaille de son bleu lapis
Les sillons que la moisson dore,
Avant que, de fleurs dépeuplés,
Les champs aient subi les faucilles,
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Entre les villes andalouses,
Il n'en est pas qui sous le ciel
S'étende mieux que Peñafiel
Sur les gerbes et les pelouses,
Pas qui dans ses murs crénelés
Lève de plus fières bastilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Il n'est pas de cité chrétienne,
Pas de monastère à beffroi,
Chez le Saint-Père et chez le Roi,
Où, vers la Saint-Ambroise, il vienne
Plus de bons pèlerins hâlés,
Portant bourdon, gourde et coquilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Dans nul pays, les jeunes femmes,
Les soirs, lorsque l'on danse en rond,
N'ont plus de roses sur le front,
Et n'ont dans le cœur plus de flammes ;
Jamais plus vifs et plus voilés
Regards n'ont lui sous les mantilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
La perle de l'Andalousie,
Alice, était de Peñafiel,
Alice qu'en faisant son miel
Pour fleur une abeille eût choisie.
Ces jours, hélas ! sont envolés !
On la citait dans les familles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Un étranger vint dans la ville,
Jeune, et parlant avec dédain.
Etait-ce un maure grenadin ?
Un de Murcie ou de Séville ?
Venait-il des bords désolés
Où Tunis a ses escadrilles ?...
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
On ne savait. – La pauvre Alice
En fut aimée, et puis l'aima.
Le doux vallon du Xarama
De leur doux péché fut complice.
Le soir, sous les cieux étoilés,
Tous deux erraient par les charmilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
La ville était lointaine et sombre ;
Et la lune, douce aux amours,
Se levant derrière les tours
Et les clochers perdus dans l'ombre,
Des édifices dentelés
Découpait en noir les aiguilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Cependant, d'Alice jalouses,
En rêvant au bel étranger,
Sous l'arbre à soie et l'oranger
Dansaient les brunes andalouses ;
Les cors, aux guitares mêlés,
Animaient les joyeux quadrilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
L'oiseau dort dans le lit de mousse
Que déjà menace l'autour ;
Ainsi dormait dans son amour
Alice confiante et douce.
Le jeune homme aux cheveux bouclés,
C'était don Juan, roi des Castilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Or c'est péril qu'aimer un prince.
Un jour, sur un noir palefroi
On la jeta de par le roi ;
On l'arracha de la province ;
Un cloître sur ses jours troublés
De par le roi ferma ses grilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Le 13 avril 1828.
Victor Hugo, Les Orientales (1829)
Les bleuets.
Tandis que l'étoile inodoreQue l'été mêle aux blonds épis
Emaille de son bleu lapis
Les sillons que la moisson dore,
Avant que, de fleurs dépeuplés,
Les champs aient subi les faucilles,
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Entre les villes andalouses,
Il n'en est pas qui sous le ciel
S'étende mieux que Peñafiel
Sur les gerbes et les pelouses,
Pas qui dans ses murs crénelés
Lève de plus fières bastilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Il n'est pas de cité chrétienne,
Pas de monastère à beffroi,
Chez le Saint-Père et chez le Roi,
Où, vers la Saint-Ambroise, il vienne
Plus de bons pèlerins hâlés,
Portant bourdon, gourde et coquilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Dans nul pays, les jeunes femmes,
Les soirs, lorsque l'on danse en rond,
N'ont plus de roses sur le front,
Et n'ont dans le cœur plus de flammes ;
Jamais plus vifs et plus voilés
Regards n'ont lui sous les mantilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
La perle de l'Andalousie,
Alice, était de Peñafiel,
Alice qu'en faisant son miel
Pour fleur une abeille eût choisie.
Ces jours, hélas ! sont envolés !
On la citait dans les familles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Un étranger vint dans la ville,
Jeune, et parlant avec dédain.
Etait-ce un maure grenadin ?
Un de Murcie ou de Séville ?
Venait-il des bords désolés
Où Tunis a ses escadrilles ?...
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
On ne savait. – La pauvre Alice
En fut aimée, et puis l'aima.
Le doux vallon du Xarama
De leur doux péché fut complice.
Le soir, sous les cieux étoilés,
Tous deux erraient par les charmilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
La ville était lointaine et sombre ;
Et la lune, douce aux amours,
Se levant derrière les tours
Et les clochers perdus dans l'ombre,
Des édifices dentelés
Découpait en noir les aiguilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Cependant, d'Alice jalouses,
En rêvant au bel étranger,
Sous l'arbre à soie et l'oranger
Dansaient les brunes andalouses ;
Les cors, aux guitares mêlés,
Animaient les joyeux quadrilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
L'oiseau dort dans le lit de mousse
Que déjà menace l'autour ;
Ainsi dormait dans son amour
Alice confiante et douce.
Le jeune homme aux cheveux bouclés,
C'était don Juan, roi des Castilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Or c'est péril qu'aimer un prince.
Un jour, sur un noir palefroi
On la jeta de par le roi ;
On l'arracha de la province ;
Un cloître sur ses jours troublés
De par le roi ferma ses grilles…
Allez, allez, ô jeunes filles,
Cueillir des bleuets dans les blés !
Le 13 avril 1828.
Victor Hugo, Les Orientales (1829)
dimanche, juin 23, 2013
Fleur bleue
"Elle est rouge, la petite fleur bleue !"
s'exclame Gaston Bachelard,
en conclusion à son analyse des poèmes de Novalis, dans la Psychanalyse du feu
vendredi, juin 21, 2013
Accordez vos violons!
pour la fête de la musique
Arman
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Lien ici vers d'autres accumulations d'instruments de musique
d'Arman,à Vallauris (photos personnelles)
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Violons et violoncelles
vers le bleu du ciel
se font la courte échelle
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jeudi, juin 20, 2013
Langage fleuri
En bouton ou bien éclose
Qu'elle soit jaune, rouge ou rose
Du jardin, la rose
Inspire vers ou prose.
Qu'elle soit jaune, rouge ou rose
Du jardin, la rose
Inspire vers ou prose.
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mercredi, juin 19, 2013
mardi, juin 18, 2013
Couleurs saisonnières
Jaune paille: jacinthes en pagaille
Indigo: iris à gogo
Rouge flamme: fleur du diable
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N. B.
Kniphofia ou tison du diable
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Couleur de saison
Avec raison
Seul avec les fleurs
Elle a ma faveur
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lundi, juin 17, 2013
Dans la jungle
Les pluies abondantes du printemps ont favorisé la croissance des mauvaises herbes...On s'y perdrait.
samedi, juin 15, 2013
Monument néo-classique
"Cariatides soeurs, des figures d'ivoire
Portent le monument qui monte à l'éther bleu,
Fier comme le témoin d'une immortelle histoire."
Enfoui dans la verdure et entouré de fleurs, ce monument aux lignes épurées, passe quasiment inaperçu, tout comme l'inscription qui orne sa partie inférieure:
"Il est des oeuvres et des pensées qui se prolongent au-delà de la tombe" A Marigny, la rue Jacques Bainville, de l'Académie Française (1879-1936), et le square du même nom
perpétuent le souvenir d'un historien- presque oublié aujourd'hui - mais en son temps, figure majeure du paysage intellectuel français, monarchiste fervent, proche de Maurras et de l'Action française, sans toutefois en épouser les idées antisémites.
Ne l'ayant pas lu, je résume ce que dit à son sujet l'article de l'Académie française, dont il faisait partie.
Agé de 22 ans, Jacques Bainville s'est fait remarquer par une biographie de Louis II de Bavière.
Son ouvrage majeur , Les conséquences politiques de la paix,(1920) anticipe tout ce qui conduira à la seconde guerre mondiale.
En 1924, il publie une Histoire de France et en 1931, une étude sur Napoléon .
Ayant épousé une normande, Jeanne Niobey, il passait ses étés dans sa propriété de Marigny et il y a élaboré la plupart de ses oeuvres marquantes à partir de 1912, ce qui explique la présence du
monument à sa mémoire , légué par l'Académie française.
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J'avais initialement confondu son nom avec celui du poète Parnassien
Théodore de Banville, (1823-1891) auquel la sculpture antiquisante me faisait penser, d'où les vers en exergue.)
Si je n'ai rien lu de Bainville, il en va autrement de son presque homonyme, et tout compte fait, ce paisible square ombragé à la stèle sobre et élégante se
Celui-ci semble de saison
L'été
La poitrine pleine de roses.
Il brûle tout, hommes et choses,
Dans sa placide cruauté.
Il met le désir effronté
Sur les jeunes lèvres décloses ;
Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.
Roi superbe, il plane irrité
Dans des splendeurs d'apothéoses
Sur les horizons grandioses ;
Fauve dans la blanche clarté,
Il brille, le sauvage Été.
.......
Celui -là, plus représentatif de l'art du Parnasse:
Il est dans l'île lointaine
Il est dans l'île lointaine
Où dort la péri,
Sur le bord d'une fontaine,
Un rosier fleuri
Qui s'orne toute l'année
Des plus belles fleurs.
Il est une coupe ornée
De mille couleurs,
Dont le sein de marbre voile
Les flots d'un doux vin.
Il est une blanche étoile
Au rayon divin,
Qui verse de blanches larmes
Au coeur des lys blancs.
Il est un seuil, plein de charmes
Pour mes pas tremblants,
Où je vais poser ma tête
Pour me reposer.
Il est un jardin en fête
Plus doux qu'un baiser,
Qui le soir, au clair de lune,
Tressaille embaumé,
C'est ton front, ta tresse brune,
Ta lèvre, ô Fatmé !
Où dort la péri,
Sur le bord d'une fontaine,
Un rosier fleuri
Qui s'orne toute l'année
Des plus belles fleurs.
Il est une coupe ornée
De mille couleurs,
Dont le sein de marbre voile
Les flots d'un doux vin.
Il est une blanche étoile
Au rayon divin,
Qui verse de blanches larmes
Au coeur des lys blancs.
Il est un seuil, plein de charmes
Pour mes pas tremblants,
Où je vais poser ma tête
Pour me reposer.
Il est un jardin en fête
Plus doux qu'un baiser,
Qui le soir, au clair de lune,
Tressaille embaumé,
C'est ton front, ta tresse brune,
Ta lèvre, ô Fatmé !
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vendredi, juin 14, 2013
mercredi, juin 12, 2013
Beau temps pour un pique-nique !
Mais le ciel qui se couvre inquiète les pique-niqueurs du dimanche d'Elisheva Engel...!
Pique-nique:nom masculin (de "piquer", picorer, et de l'ancien français "nique", chose sans valeur)
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lundi, juin 10, 2013
L'est écrémé, le lait frais
Aux abords de
Rennes:
Agrilait
Vaches sereines
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Débit de l'eau, débit de lait, Trenet
/You tube , ici
Dans l'une on vend de l'eau, dans l'autre on vend du lait
La première n'est pas sympathique
Mais la seconde en revanche où l'on vend du lait... l'est
Et c'est pour ça que tous les passants
La montre du doigt en disant:Ah! qu'il et beau le débit de lait
Ah! qu'il est laid le débit de l'eau
Débit de l'eau si laid
Débit de lait si beau
S'il est un débit beau c'est bien le beau débit de lait
Au débit d'eau y'a le beau Boby
Au débit d'lait y'a la bell' Babée
Ils sont vraiment gentils chacun dans leur débit
Mais le Bobby et la Babée sont ennemis
Car les badauds sont emballés
Par les bidons de lait d'BabéeMais l'on maudit le lent débit
Le lent débit des longs bidons du débit d'eau d'Boby
Aussi Babée ses bidons vidés
Elle les envoie sur le dos d'Boby
Et Boby lui répond
En vidant ses bidons
Les bidons d'eau de son débit et allez donc !
Dans ma rue y'a un mariage
Celui du beau Boby et de la belle Babée
Les v'là tous deux en ménage
Le débit d'eau épouse le grand débit d'lait
Ils on r'peint leur boutique en blanc
Et chacun dit en y allant
Ah! qu'il est beau le débit de lait
Ah ! quel palais le débit de l'eau
Débit de lait si beau
Débit de l'eau pas si laid
S'il est un débit beau
C'est bien le beau débit de lait
Boby a mis du lait dans son eau
Et la Babée de l'eau dans son lait
Ils ont enfin compris que leurs débits unis
Font le plus grand le plus joli des débits
Et les badauds sont emballés
Par les bidons de lait d'Babée
Oui mais Boby garde pour lui
Les deux plus beaux bidons de lait de la Babée jolie
Et maintenant si vous y allez
Vous entendrez de joyeux babils
De deux beaux bébés blonds
Qui font tomber d'un bond
Tous les bidons d'eau et d'lait de la maison
Ils se battent à coups de beaux bidons
Chez Boby et chez Babée et allez donc !
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samedi, juin 08, 2013
le temps des cerises
Faute de voir les cerises Napoléon et coeur de pigeon s'annoncer sur mon cerisier, voici des fruits de saison en peinture
L'artiste saint-Lois,
Bruno Dufour-Coppolani (lien page d'accueil, à droite)
qui a décoré de fruits
la salle à manger de la maison de retraite,
les Hortensias , à Marigny
Les paroles de la célèbre chanson, le Temps des cerises , servent de fond à ce trompe-l'oeil
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Imitation ou « mimesis » en grec :
Deux légendes illustrent cette notion:
- celle de Zeuxis rapportée par Pline l’Ancien, dans son Histoire naturelle concerne la peinture
- celle de Zeuxis rapportée par Pline l’Ancien, dans son Histoire naturelle concerne la peinture
« Le peintre Zeuxis d’Héraclès avait pour rival le peintre Parrhasios. Lors d’un concours, Zeuxis peignit des raisins avec tant de ressemblance, que des oiseaux vinrent les becqueter ; tandis que Parrhasios représenta un rideau si fidèlement au modèle , que Zeuxis, tout fier d’avoir piégé les oiseaux, « demanda qu’on tirât enfin le rideau, pour faire voir le tableau. Alors, reconnaissant son illusion, il s’avoua vaincu avec une franchise modeste, attendu que lui n’avait trompé que des oiseaux, mais que Parrhasios avait trompé un artiste, qui était Zeuxis. »
-Celle rapportée par Ovide dans ses Métamorphoses concerne la sculpture
http://www.fdac91.ac-versailles.fr/spip.php?article93
........................................................................................................................................................-Celle rapportée par Ovide dans ses Métamorphoses concerne la sculpture
http://www.fdac91.ac-versailles.fr/spip.php?article93
L'artiste saint-Lois,
Bruno Dufour-Coppolani (lien page d'accueil, à droite)
qui a décoré de fruits
la salle à manger de la maison de retraite,
les Hortensias , à Marigny
Les paroles de la célèbre chanson, le Temps des cerises , servent de fond à ce trompe-l'oeil
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jeudi, juin 06, 2013
mardi, juin 04, 2013
Phosphorescent
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Postée au perron
elle attend son amoureux
quand vient l'heure bleue
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lundi, juin 03, 2013
Où l'on reparle du musée Emile André
En juillet 2010, la librairie OCEP ayant hélas fermé ses portes , le local avait servi de lieu d'exposition à l'artiste saint-lois,
Sylvain Mellot , fouillologue
pour présenter son musée Emile André,
destiné à voyager vers les musées de France et de Navarre.
Visite virtuelle ici:
En mai 2013, le projet , longuement mûri d'un livre servant d'accompagnement à ce musée itinérant. a vu le jour:
Trois minutes trente
Suzanna et Konstantin Falk ont gentiment ouvert les portes de leur belle demeure , en cours de restauration, à Cerisy-La-Forêt, aux amis et partenaires de ce projet artistique.
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Articles:
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http://photograff.blogspot.fr/2011/01/z.html
Et un article d'Enitram, en prolongement , là
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