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mardi, mars 14, 2017

Fenêtres tragiques

                
             

  "La lumière est tout simplement fulgurante ici, la couleur est littéralement dévorée",
             note Nicolas de Staël dans des lettres écrites du Lavandou, d'Antibes ou d'Agrigente.




Né à Saint-Pétersbourg en 1914, Nicolas de Staël passe son enfance en Pologne puis en Belgique où, en 1938,  il suivra les cours de de l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles .
Installé à Paris en 1938, il rencontre la galeriste Jeanne Bucher qui l'expose en 1944 et 1945.

Sa toile Composition entre au Musée national d'art moderne à Paris en 1949.
1951: exposition à New York, acquisition d'une de ses toiles par le MOMA.
1952 et 1953: expositions à Londres puis à New York (Galerie Knoedler )
Plus apprécié outre-Atlantique qu'en France, il expose  26 toiles chez Rosenberg.

1954: exposition à la galerie Jacques Dubourg. Son retour apparent à la figuration déconcerte.


"Quand j'étais jeune , pendant des années, j'ai peint le portrait de Jeannine.(...)
Je m'interrogeais: qu'ai-je peint là? Un mort vivant ? Un vivant mort ?"




"Est-ce qu'un tableau peut être des taches et rien d'autre? Je n'en sais rien"


Le 14 mars 1955, le peintre se donne la mort à Antibes, où il s'était installé six ans auparavant.






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Liens  ici   (article du Point /16 mars 1955)
  (Peinture)
et là  (Composition )

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Source : 
Beaux-Arts , numéro 137, septembre 1995, De Staël aux limites de l'abstrait, article d'Eric de Chassey











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