jeudi, juin 25, 2020

En plein air

Au MAH , musée Baron Gérard de Bayeux, le deuxième tableau de Caillebotte (1848-1894), 


a  rejoint sur celui qu'il avait offert pour son mariage à sa cousine Zoé Fermal, Bayeusaine 
et que son petit-fils, François Chaplain (arrière-petit cousin du peintre ) avait souhaité voir compléter les collections du musée,  dans la salle du XIX ème siècle,  comme le précédent.


Paysage à Argenteuil de Gustave Caillebotte (Paris 1848 – Gennevilliers 1894) Huile sur toile, 1889 -Dépôt Musée d’Orsay, Inv. RF MO P 2019 5



                                             Sur les raisons de cette dation, lien ici .


                 Exposé à partir de février 2020, le tableau n'a pas pu, jusqu'ici être admiré par autant de                                                 visiteurs qu'il le méritait, à cause du Covid 19.
       
                                           

                      La récente réouverture du musée permettra-t-elle de rattraper le temps perdu?
                                               Pour l'instant, pas de visites guidées.




10 commentaires:

  1. Coucou miss Yves.
    Une bonne chose que les musés puissent ouvrir!
    Quoi que, il m'arrive très rarement de les visiter faute de proximité je me contente de la toile!!!
    Passe une bonne journée A +

    RépondreSupprimer
  2. J'aime beaucoup l'attitude attentionnée des dames, les yeux fixés sur leurs ouvrages. Une sérénité s'en dégage comme on peut le vivre aussi quand on est entièrement absorbé par une tâche précise à faire.

    Mais j'aime infiniment la nouvelle image de Fla et Flo ! Elle inspire la joie de vivre et l'envie de courir ou de pédaler en compagnie de ce merveilleux toutou

    RépondreSupprimer
  3. J'aime bien ta bannière.
    Je ne connais pas trop l'oeuvre de Caillebotte. Je vais me pencher sur le sujet.
    Oui, ce foutu covid-19 nous aura bien enquiquiner la vie pour être polie.
    Belle journée !

    RépondreSupprimer
  4. J'ai vu l'expo consacrée à Caillebotte au musée des Impressionnismes que j'ai beaucoup aimée. Voir la façon dont des peintres voient et rendent le monde change le regard ou le conforte. Je me dis que je devrais me faire des dossiers pour classer les photos que je prends lors des expos, de tableaux qui m'ont particulièrement marquée.
    J'aime bien le petit paysage sur la brochure que tu remets ensuite, c'est une époque qui correspond à celle de ma grand mère. Un paysage simple comme on en trouve autour de nous et qui peut nous ravir.

    RépondreSupprimer
  5. Covid est l’acronyme de corona virus disease, et les sigles et acronymes ont le genre du nom qui constitue le noyau du syntagme dont ils sont une abréviation. On dit ainsi la S.N.C.F. (Société nationale des chemins de fer français) parce que le noyau de ce groupe, société, est un nom féminin, mais le C.I.O. (Comité international olympique), parce que le noyau, comité, est un nom masculin. Quand ce syntagme est composé de mots étrangers, le même principe s’applique. On distingue ainsi le FBI, Federal Bureau of Investigation, « Bureau fédéral d’enquête », de la CIA, Central Intelligence Agency, « Agence centrale de renseignement », puisque dans un cas on traduit le mot noyau par un nom masculin, bureau, et dans l’autre, par un nom féminin, agence. Corona virus disease – notons que l’on aurait pu préférer au nom anglais disease le nom latin morbus, de même sens et plus universel – signifie « maladie provoquée par le corona virus (“virus en forme de couronne”) ». On devrait donc dire la covid 19, puisque le noyau est un équivalent du nom français féminin maladie. Pourquoi alors l’emploi si fréquent du masculin le covid 19 ? Parce que, avant que cet acronyme ne se répande, on a surtout parlé du corona virus, groupe qui doit son genre, en raison des principes exposés plus haut, au nom masculin virus. Ensuite, par métonymie, on a donné à la maladie le genre de l’agent pathogène qui la provoque. Il n’en reste pas moins que l’emploi du féminin serait préférable et qu’il n’est peut-être pas trop tard pour redonner à cet acronyme le genre qui devrait être le sien.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ahah ! Miss !
      La covid n'a pas un lourd passé, si elle a un lourd présent depuis peu. Je me permet de noter que j'employais déjà le féminin le 11 juin ICI (Re ahaha, comment sais je la date ?). Ce qui me semblait logique après l'avoir entendu car la grippe, la tuberculose, la peste mais toutefois le choléra, le typhus, le rhume. Je te remercie de ces explications très intéressantes. Destinées d'abord à toi même ?

      Supprimer
    2. Je sais!!! J'avais failli écrire ceci:

      "tiens, tu dis LA Covid comme les Québécois?

      Destinées à une copine réelle, je veux dire "en chair et en os" (pas "copinaute", ni "virtuelle" , ce qui ne veut pas dire que les copinautes ne sont pas de "vraies copines AH AH Ah !")


      A une copine réelle disais-je qui regarde mon blog sans laisser de comm. qui donc s'étonnait de me voir employer le masculin.

      J'ai envoyé le texte à mon correspondant canadien dont l'explication m'avait étonnée. elle tournait autour du féminin des noms de maladie ( et comme toi j'avais objecté: le choléra, le typhus, le rhume) mais sans faire le lien avec la traduction de "disease", fém en Français .


      Supprimer
  6. j'essaierai de rattraper l'erreur et le temps perdus!

    RépondreSupprimer
  7. Caillebotte me botte depuis longtemps ;-)

    RépondreSupprimer

Comme des poissons dans l'eau

                                                                     Les Claies de Vire