Trois qualificatifs pour des jardins qui, sans être publics, n'appartiennent pas en propre à leurs utilisateurs .
Des synonymes ?
Pas tout à fait.
Ces adjectifs qualifiant des jardins s'inscrivent dans une histoire sociale et politique, comme le prouve cet intéressant article, ici , illustré de documents.
Pas tout à fait.
Ces adjectifs qualifiant des jardins s'inscrivent dans une histoire sociale et politique, comme le prouve cet intéressant article, ici , illustré de documents.
A l'origine
destinés aux ouvriers afin de les"détourner du cabaret" tout en leur assurant une alimentation saine et bon marché, ils concrétisent de nos jours l'aspiration des citadins - tout particulièrement des habitants de la région parisienne- à retrouver la campagne et les atouts du bio .
Combattre le stress, créer du lien social, tes sont les objectifs de la Fédération des jardins familiaux et collectifs .
Lien là
destinés aux ouvriers afin de les"détourner du cabaret" tout en leur assurant une alimentation saine et bon marché, ils concrétisent de nos jours l'aspiration des citadins - tout particulièrement des habitants de la région parisienne- à retrouver la campagne et les atouts du bio .
Combattre le stress, créer du lien social, tes sont les objectifs de la Fédération des jardins familiaux et collectifs .
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Pour les petits jardiniers, quel joie de récolter leur dessert , aussi naturel qu'appétissant !
...
"Rapidement, l’idée fait des émules notamment en région parisienne. La demande étant croissante, les surfaces mises à disposition ont explosé. Ainsi en 1904, la région parisienne ne comptait que 48 jardins ouvriers mais en 1913, on en recensait plus de 1500. En 1945, le mouvement des jardins ouvriers porté par les actions du Front Populaire notamment devient un vrai succès avec plus de 250 000 jardins ouvriers en France. En 1952, les jardins ouvriers prennent officiellement le nom de jardins familiaux. La loi votée cette année là inscrit les jardins familiaux dans le cadre législatif du Code rural."
Coucou Miss Yves.
RépondreSupprimerCultiver son jardin, c'est prendre soin d'un vieux copain !
(c'est à dire de son pote âgé)!!lol
Oui bon pour me nourrir en cultivant un jardin, ce n'est pas gagné...
Très bonne semaine, A +
😜
Supprimerje préfère le terme jardins familiaux même si ça sonne "ringard" !
RépondreSupprimeril y a dans le terme plus d'implication personnelle... dans collectif ou partagé la responsabilité individuelle se dilue !
Certes, « familiaux » est sympa.
Supprimerun dessin, une fraise, un dessin....
RépondreSupprimerAgréable programme, n’est pas ?
Supprimertu peins les rouges avec les fraises ?
RépondreSupprimerC’est une idée
SupprimerJ’ai dèjà peint avec des pétales de fleurs
Très beaux tes dessins!
RépondreSupprimerA l'heure de la malbouffe, toutes ces petites initiatives pour garder des petits jardins sont les bienvenues. Et j'apprends par ton billet qu'elles ne datent pas d'aujourd'hui. Ces petits jardins sont lieux de socialisation et d'apprentissage. Manger les fraises de son jardin en dessert, quelle belle récompense! Tiens, soudain, j'ai envie de fraises. :-) Avec de la bonne crème fouettée. Bises alpines.
merci
Supprimerou au 🍷 ?
Tes interprétations sont joyeuses et
RépondreSupprimerta récolte goûteuse !!!
A partager sans modération.
SupprimerOh que j'aime ton jardin à toi ! Quel talent !
RépondreSupprimerIl y en a aussi dans le coin, à Tours, Au Mans et à la périphérie.
Ici je ne pense pas. Certains habitant en HLM ont des petits lopins de terre et beaucoup leur jardin personnel.
J'ai bien aimé ton port Chinois, il est vrai que ça lui ressemble beaucoup.
Belle journée !
Merci !
SupprimerLe port chinois était une surprise.
J’ai vu des dessins à la plume dans l’auberge où nous logions représentant celui-ci ou de vrais ports chinois.
Cela rendait très bien.
Il n'y a pas si longtemps le jardin était surtout vivrier. C'était le cas dans la famille de mon mari dont les cousins se souviennent du père rentrant déjeuner le midi et allant travailler au jardin avant de réembaucher l'après-midi. Le jardin partagé c'est la réinvention de l'esprit de propriété (il y en beaucoup à Paris, notamment au bout de la rue de nos petits fils dans le 19ème mais également au parc de Belleville dans le 20ème)
RépondreSupprimerN'as tu jamais remarqué le long des voies de chemin de fer des petits jardins ? Ce sont des jardins cheminots. Voir Jardinot
RépondreSupprimerEn effet !
SupprimerMerci pour le lien.
Et j’ai même remarqué des jardins « familiaux « en arrivant à Caen , sur Bretteville, le long de la route, un peu coincés par la zone commerciale qui s’est installée de l’autre côté.
Ton dessin et ton aquarelle sont très réussis, bravo !
RépondreSupprimerQuant aux jardins ouvriers, cheminots ou familiaux, c'est une pratique que j'aimerais voir se répandre, à condition que les plantations ne soient pas (comme très souvent à Paris) à portée des pots d'échappement des voitures et camions :-/
CF. Rarement, presque jamais, car je n'ai plus les couleurs dans l'oeil et, d'après photo, ce n'est pas pareil.
RépondreSupprimerA la rigueur, je pourrais peut-être mettre quelques couleurs sur le croquis de la tonnelle, vraiment succinct
Une bien belle idée qui s'étend. Surtout chercher à retrouver le goût des tomates, des fraises et autres légumes et fruits qui est difficile à trouver sur les marchés, tout du moins par ici. Qu'est ce que j'ai du mal avec les tomates qui même organiques ne remplissent pas leur rôle d'être goutues, de même pour les fraises. Elles grandissent les pieds dans l'eau.
RépondreSupprimerSans oublier le plaisir de récolter soi-même, même si ce ne sont que des croquis qui eux perdurent...