Maison familiale , devenue musée en 1980, rénovée en 2008, lors des commémorations du bicentenaire de la naissance de l'écrivain
Lien 1 /Bicentenaire
Lien 2 /bicentenaire
Quelques images:
Au rez-de- chaussée, vêtements d'intérieur du dandy (lien personnel ici)
"Pour des Gens comme nous, la forme n'est jamais une chose futile, et le souci du costume est le souci d'une phrase bien faite et même mieux."Lettre du 5 décembre 1857 à Trébutien .
Veste d'intérieur, appelée "Dalmatique" ou "Tabart" par son propriétaire, surmontée de son capulet
Aperçu de sa célèbre limousine;
"L'hiver, il se drape d'un manteau fait d'une capote de charretier rayée, sur fond blanc, de bleu, de noir, de chocolat, et doublée de velours noir; s'il la met à rebours, c'est Edgar, l'amant de Lucile de Lammermoor; s'il la met à l'endroit, c'est un roulier gentilhomme, un homme impossible..."
Théophile Silvestre, Le Figaro, article du 25 juillet 1861
Théophile Silvestre, Le Figaro, article du 25 juillet 1861
Parmi les nombreuses pièces de l'étage : la reconstitution de son appartement , le "tourne-bride de sous-lieutenant", 25 rue Rousselet à Paris.
Malle de voyage, don au musée de la société Barbey le 4 mai 2019.
Maison natale de Barbey d'Aurevilly à Saint-Sauveur -Le Vicomte
Lettre à Trébutien du 1er octobre 1851:
"Je suis réellement né le jour des morts, à deux heures du matin , par un temps du Diable. Je suis venu comme Rémulus s'en alla,-dans une tempête. Comme Fontenelle, je faillis mourir une heure ou deux après ma naissance, mais il y a de bonnes raisons pour que je meure avant cent ans . Il paraît que le cordon ombilical avait été mal noué et que mon sang emportait ma vie dans les couvertures de mon berceau, quand une dame,( mon premier amour secret d'adolescent) amie de ma mère, s'aperçut que je pâlissais et me sauva non des eaux comme Moïse, mais du sang, autre fleuve où j'allais périr"
C'est au domicile du chevalier de Montressel, son grand-oncle et parrain, que Jules Amédée Barbey a vu le jour ( à trois heures du matin selon le registre de l'Etat Civil), sa mère, malgré l'avancement de sa grossesse s'étant rendue chez celui-ci pour jouer au whist.
Lettre à Trébutien du 1er octobre 1851:
"Je suis réellement né le jour des morts, à deux heures du matin , par un temps du Diable. Je suis venu comme Rémulus s'en alla,-dans une tempête. Comme Fontenelle, je faillis mourir une heure ou deux après ma naissance, mais il y a de bonnes raisons pour que je meure avant cent ans . Il paraît que le cordon ombilical avait été mal noué et que mon sang emportait ma vie dans les couvertures de mon berceau, quand une dame,( mon premier amour secret d'adolescent) amie de ma mère, s'aperçut que je pâlissais et me sauva non des eaux comme Moïse, mais du sang, autre fleuve où j'allais périr"
C'est au domicile du chevalier de Montressel, son grand-oncle et parrain, que Jules Amédée Barbey a vu le jour ( à trois heures du matin selon le registre de l'Etat Civil), sa mère, malgré l'avancement de sa grossesse s'étant rendue chez celui-ci pour jouer au whist.
Para conocer más de su vida. Una visita a la casa, que le vio nacer, es bastante interesante.
RépondreSupprimerUn abrazo
Coucou Miss Yves.
RépondreSupprimerBelle decouverte...
Très bonne semaine, A +
une découverte...que cette maison !
RépondreSupprimerJ'admire la malle de voyage. Les vêtements devaient surprendre les visiteurs comme certains en attestent ici, son côté excentrique, dandy?. Certainement une personne compliquée, non? Vive la Normandie célébrée dans son oeuvre!
RépondreSupprimerJ'aime bien ce genre de visites. La malle avait un bel intérieur et au niveau costumes, on se distingués comme on peut ou surtout comme on veut.
RépondreSupprimerBelle journée !
Tous les grands hommes ont été des enfants !
RépondreSupprimerLa houppelande... L'époque voulait cela, on ne chauffait guère à l'époque. Sur les photo je remarque le tapis de table. J'en ai un comme cela en soie qui me vient de famille. Il me fait penser à l'intérieur de Pierre Loti et à ses burnous