dimanche, décembre 15, 2024

Gravure au MAH de Saint-Lô (2)

 


 
                                                     Portrait de Baudelaire par Manet


Pluie et parapluie, de Félix Buhot dont l'atmosphère rappelle le premier chapitre du Chevalier des Touches




Félix Buhot, La falaise, baie de Saint -Malo(1886) Pointe sèche , aquatinte et roulette en couleurs.
Musée du dessin et de l'estampe originale, Gravelines .

Quatre états successifs


                                                           Admirez la richesse des marges !





samedi, novembre 30, 2024

Gravure au MAH de Saint-Lô (1)


Dans le cadre de Normandie impressionniste 2024


« Deux expositions célèbrent cet anniversaire, soulignait  Florentin Danguy, médiateur du patrimoine.
 L’une d’elles est consacrée à l’artiste Amandine Boubon-Toulan qui réalise des peintures numériques. »





L’autre exposition temporaire était dédiée à la gravure. « Pour l’occasion, le musée d’Orsay a prêté une toile d’Edgar Degas représentant deux graveurs. »`

Mais c'est la gravure d'Edouard Manet, Lola de Valence, qui a tenu la vedette en tête d'affiche exposée sur le fronton du centre culturel La Source pour annoncer cette exposition.




L'artiste a réinterprété la peinture à l'huile qu'il avait réalisée sur le même sujet.


Edouard Manet
Lola de Valence
1862
huile sur toile
H. 123,0 ; L. 92,0 cm avec cadre H. 144,5 ; L. 112,5 cm
Legs comte Isaac de Camondo, 1911
© Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt

 

vendredi, novembre 29, 2024

Le spectacle de la marchandise au MBA de Caen

Le spectacle de la marchandise, Art et commerce , 1860-1914 

https://mba.caen.fr/exposition/le-spectacle-de-la-marchandise

"Dans le cadre de Normandie impressionniste 2024

Avec le soutien exceptionnel du musée d’Orsay, de la Bibliothèque nationale de France, du musée départemental Albert Kahn et du musée Carnavalet - Histoire de Paris


"Après l’exposition « Villes ardentes » consacrée à la représentation du travail urbain (2020), le musée des Beaux-Arts de Caen s’intéresse à la manière dont le développement commercial sans précédent des villes se manifeste dans le regard des artistes de 1860 à 1914. 

À nouveau, le musée adopte un point de vue élargi sur les oeuvres produites avant la Première Guerre mondiale, déplaçant les oppositions habituelles pour mêler différentes visions d’une même modernité : 

Jules Adler et Fernand Pelez sont exposés aux côtés de Pierre Bonnard, Édouard Vuillard, Raoul Dufy, Maximilien Luce ou Théophile Steilen... 





Le parcours fait revivre le bouillonnement des villes marchandes à travers une centaine d’oeuvres (peintures, photographies, films, dessins, gravures) 

auxquelles se mêlent de petits ensembles d’enseignes commerciales, d’affiches publicitaires et d’objets promotionnels.





Dans les grandes métropoles, au premier rang desquelles Paris, les lieux de commerce se multiplient et se diversifient.

 
L’apparition des grands magasins n’entraîne pas la disparition des vendeurs ambulants, des échoppes ou des boutiques traditionnelles. 



La rue prolonge la boutique. Les marchandises abondent et le spectacle est permanent.


Au 19e siècle, les descriptions de magasins et de marchandises prennent une place grandissante dans les récits de voyage et les guides.

 De signes de prospérité générale de la ville, les lieux de commerce deviennent des lieux de « shopping ». Défini comme le plaisir de comparer et d’évaluer les marchandises et les boutiques, le « shopping » -terme apparu progressivement au 19e siècle - constitue une activité sociale, culturelle et de loisir. Il est alimenté par des artifices de vente et un arsenal publicitaire bientôt omniprésents.


La disposition des étalages et des devantures, les annonces dans la presse, les voitures siglées, les catalogues de vente, les objets promotionnels, les affiches et les enseignes : tout concourt à créer un petit théâtre de la marchandise. 



Les artistes de la vie moderne sont les témoins privilégiés des transformations économiques, visuelles et sociales des villes. 



Leur regard s’attarde sur l’effervescence consommatrice.


 Sensible à la présence des commerçants ambulants, aux gestes des modistes, aux attitudes des garçons de café, il relève encore les lettres des enseignes 


et des publicités qui font de la ville un « magasin d’images et de signes » comme l’écrivait Charles Baudelaire en 1859."



lundi, novembre 25, 2024

L 'âge d'or, Monique Frydman



 L'âge d'or, Monique Frydman , musée des Beaux-Arts de Caen 


 
"L’artiste continue d’explorer les techniques et les matières auxquelles elle reste fidèle depuis le début de sa carrière : imprégnation progressive des pigments et pastels sur une variété de supports, toile de lin, coton, papier Japon, tarlatanes". 


 

"L’artiste réaffirme à travers lui son engagement de peintre et explore son histoire personnelle, des années clandestines de sa petite enfance dans le Tarn pendant la Seconde Guerre mondiale à la création du Polyptyque Sassetta, œuvre monumentale exécutée pour le salon Carré du musée du Louvre en 2013. 

La dispersion à travers les âges du célèbre polyptyque signé en 1444 par le peintre siennois Stefano di Giovanni, dit Sassetta, a conduit Monique Frydman à imaginer un retable monumental et abstrait, qui interroge les notions de disparition et de fragmentation : ce qui était un chef-d’œuvre intouchable, invulnérable au moment de sa création, a été par la suite extrait du lieu sacré, démembré et dispersé".



Le désir d’immersion dans la couleur et la lumière caractérisant son langage pictural se concrétise dans ce cube où le spectateur peut pénétrer.

Du 23 mars au 1 septembre 2024

Dans le cadre de Normandie impressionniste 2024

8e édition du cyce Résonance, une carte blanche offerte chaque année à un

une / artiste.










vendredi, octobre 25, 2024

Journée des peintres (2)



à l'abbaye de Cerisy-la -Forêt 


Pauline Bailly,qui a exposé à Gratot ,  a mis en scène une femme-nuage dont le cou s'orne d'un collier fait des vitraux de l'abbaye



(Photos d'Evelyne, merci ! )




Yannick Ollitrault a fait figurer, au pied de l'abbaye, des personnages qui portent l'abbatiale. -
Article de Michel Raimbeault


mardi, octobre 22, 2024

Journée des peintres (1)

                                                                  Souvenir d' été: 

                                                      peinture et plein soleil à l'abbaye de Cerisy













Merci, Evelyne !



Croquis

Aquarelle



Pastel 


Aquarelle encadrée -à la maison 

Gravure au MAH de Saint-Lô (2)

                                                         Portrait de Baudelaire par Manet Pluie et parapluie,  de Félix Buhot dont l'a...