
Article et photo Ouest-France (Y. Halopeau)
Aragon,Le Musée Grévin
I
Au quatrième été de notre apocalypse
Une étrange pâleur paraît sur l'horizon
Est-ce qu'on toucherait à la fin de l'éclipse
L'espoir palpite dans la paille des prisons
Entendez-vous gémir la nuit comme une porte
C'est l'aurore qui fait les bourreaux blémissants
Les princes inquiets rentrent sous bonne escorte
Chez leurs femmes laver leurs habits pleins de sang
L'empire de la peur jusqu'ici leur domaine
Au torrent des discours donne un cours différent
(...)
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