Deux côte à côte
Un, solitaire
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*** Je n'aurais pas envie d'aller y poser mon postérieur ;o) mais les admirer chez toi, oui, je profite d'admirer ces bancs blancs à travers ton blog ! Très jolis !
RépondreSupprimerMERCI et gros bisous Miss_Yves ! :o) ***
tous aussi pleins de poèsie! j'aime beaucoup les bancs desertés...mais ce n'est pas le moment d'aller les occuper.
RépondreSupprimerLes bancs jouent aux amoureux, oui mais ou sont donc les amoureux?
RépondreSupprimerIl faut bien admettre qu'avec un temps pareil...
Bon weekend A +
Une préférence pour le solitaire pour s'y asseoir qu'à deux.
RépondreSupprimerPeut-être faut-il attendre la fonte des neiges chez toi !!!
Trois,deux,un.....
RépondreSupprimermon commentaire n'est pas passé: pourtant je disais combien je trouve ces photos poétiques, j'aime les bancs désertés, et je ne penses pas que c'était le moment de les occuper!
RépondreSupprimerRemarquerions-nous ces bancs autant par temps d'été?
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le titre et la première photo.
Il est intéressant de voir qu'il y a des pas qui ont tourné autour des bancs! Peut-être même des fesses s'y sont posées. Bon weekend et merci du poème!
RépondreSupprimerEnitram: 4, 3, 2, 1, puisque square signigie carré donc 4
RépondreSupprimerMarguerite-Marie:si, si, ton 1Er comm est bien passé, il m'a fallu le temps de le voir et de le publier
Daniel et Claude: une référence à G Brassens, et ses bancs publics...
HPY et Nancy: un point commun dans votre commentaire, qui me rappelle une chanson des frères Jacques-ou plutôt des 4 barbus
Thérèse: peut-être pas...Quoique...
amusants, ces bancs !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la première particulièrement car les ramures enchevêtrées tiennent lieu de ciel et l'hiver les a dépouillées aussi s'aperçoit-on que ceux qui pouvaient se croire isolés ne l'étaient pas tant que cela.
RépondreSupprimerJuste hier j'ai dit à mon mari que cette année il nous faudra mettre un banc au fond du jardin dont j'ai ratissé la pelouse spongieuse.
Un banc c'est un lieu de RV, une halte qui ponctue le chemin comme autrefois les calvaires ou un territoire neutre à partager.
lucie, c'était comme une tonnelle, une pergola!
RépondreSupprimerSomeone should build snowmen on those lonely benches.
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