A Gréolières,
comme à Sisteron, les andrones donnent aux rues étroites beaucoup de caractère.
Le village domine la haute vallée du Loup, et si la côte d'Azur n'est pas loin, les Préalpes accrochent les nuages .
De la part d'Enitram, un beau poème:
Agrippés à la pente on ne sait trop comment,
Des villages perchés sont suspendus au flanc
De la montagne abrupte et presque inaccessible.
Comment donc ont-ils fait ? Comment est-il possible
Que des Humains aient pu accrocher leur village
Sur ce versant pentu, si proche des nuages
Que son clocher aigu semble s’y arrimer,
Le coq rivé au ciel et la base au rocher ?
La vallée est riante et propice à la vie :
Pourquoi tous ces efforts ? Pourquoi avoir gravi
Ces pentes insensées pour ainsi s’y plaquer
En surplomb sur le vide ? Pourquoi tant endurer
Et s’installer ici, collés à la paroi
Au gris vertigineux ? D’où venait cet effroi
Qui les poussa alors vers un monde inhumain ?
Pour être à tout jamais au plus près du Divin ?
Tu peux trouver l'auteur ici :
http://poemes-provence.fr/les-villages-perches/
Mercci
il va falloir installé des remonte pentes
RépondreSupprimerAprès le chat, le village.
RépondreSupprimerIl faut toujours attendre qu'il descende du perchoir pour qu'il soit Chat ?
Pour le village l'attente va être longue, on devrait fixer un temps limite si non ce n'est plus du jeu...
Bonne journée A + :))
Une petite série sympathique. J'aime bien les deux dernières photo.
RépondreSupprimerOn a quand même de beaux villages dans notre belle France.
Comme tout ceci est prenant et intime! Ces villages me font penser à des nids.
RépondreSupprimerwouah!!! superbe ! tant la ruelle que le brouillard!
RépondreSupprimersuperbe!andrones ???
RépondreSupprimerpas prendre un gramme..pour passer dans cette ruelle..!
RépondreSupprimerAgrippés à la pente on ne sait trop comment,
RépondreSupprimerDes villages perchés sont suspendus au flanc
De la montagne abrupte et presque inaccessible.
Comment donc ont-ils fait ? Comment est-il possible
Que des Humains aient pu accrocher leur village
Sur ce versant pentu, si proche des nuages
Que son clocher aigu semble s’y arrimer,
Le coq rivé au ciel et la base au rocher ?
La vallée est riante et propice à la vie :
Pourquoi tous ces efforts ? Pourquoi avoir gravi
Ces pentes insensées pour ainsi s’y plaquer
En surplomb sur le vide ? Pourquoi tant endurer
Et s’installer ici, collés à la paroi
Au gris vertigineux ? D’où venait cet effroi
Qui les poussa alors vers un monde inhumain ?
Pour être à tout jamais au plus près du Divin ?
Tu peux trouver l'auteur ici :
http://poemes-provence.fr/les-villages-perches/
Il ne faut pas être gros!
RépondreSupprimerSuch a beautiful village -- I'd love to visit.
RépondreSupprimerEnitram t'as fait un beau cadeau, cela lui ressemble bien.Bravo pour tes photos superbes.
RépondreSupprimerRoger
Les préalpes comme les Vosges favorisent donc l'effet de foehn ?
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