Avec son allure de pont suspendu en pleine jungle, au-dessus de profondeurs aquatiques comme jetée là pour des aventuriers, des explorateurs-ou des exploratrices-
la passerelle Simone de Beauvoir, la bien nommée, me plaît par la hardiesse de ses lignes et son dynamisme.
Tu as raison c'est bien une jungle (Une jungle urbaine).
RépondreSupprimerToute fois je ne vois pas "Jane et Tarzan" !!!!
Bon weekend A + :))
tres jolie,ici on a un pont "rouge" qui detonne et est moche a mourrir...
RépondreSupprimerBonne journee ;o)
Elle a de belles courbes cette passerelle. Sur la seconde photo elle se marie bien au paysage.
RépondreSupprimerEn plus elle porte un joli nom.
Ceci dit on ne peut pas la prendre en voiture, Simone...
joli programme! au bout de la passerelle, la découverte du monde!bwe !
RépondreSupprimerClaude:HA Ha! J'adore cette formule (1)!
RépondreSupprimercette immense passerelle,aux très belles lignes architecturales semble être faite pour des foules empressées de " passer le pont".
RépondreSupprimerRoger
Une passerelle moderne et élégante qui s'inscrit bien dans ce décor urbain pour arriver devant la bibliothèque nationale !
RépondreSupprimerenitram; La B. N était fermée ...Nous voulions voir l'expo Wiaz : raté !
RépondreSupprimerle chemin des grands jardins: pas de foule empressée, ce jour-là , farniente sous le soleil
RépondreSupprimerContente de t'avoir fait rire.
RépondreSupprimerJ'aime le modernisme quand il est beau. J'aurais cette formule :
Moche/éviter.
Beau/voir.
c'est en franchissant la passerelle qu'on découvre toutes ces sculptures. C'est un bel endroit.
RépondreSupprimerderrière tous ces vitres... un peuple de bureaucrates..!?
RépondreSupprimerOh pas de chance !!!
RépondreSupprimerRavissante cette passerelle! Elle apparait légère et ta première vue avec la verdure en réhausse le charme.
RépondreSupprimerDécidément les bibliothèques ont du mal à garder leurs portes ouvertes au public, le jour de ma visite à Beaubourg, il y avait grève...
C'est vrai qu'elle est belle, elle raconte des histoires d'explorations intrépides.
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