"Chemin de neige profonde
où je vais d'où je viens
se confondent"
Nakamura Kusatao
in
Haïku du XX ème siècle, Présentation, choix et traduction de Corinne Atlan et Zéno Bianu
(Article personnel ici /Corinne Atlan; autres poèmes courts japonais là )
le poème court japonais d'aujourd'hui, nrf, Poésie/Gallimard
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Pépiement d'oiseau
dans le paysage flou
où chercher pitance
Miss Yves
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Atmosphère cotonneuse,
C'est l'année de mars en blanc ;
paysages ouatés et beaux,
C'est le bonheur des enfants,
Et pour les petits oiseaux
Une vie laborieuse.
C'est l'année de mars en blanc ;
paysages ouatés et beaux,
C'est le bonheur des enfants,
Et pour les petits oiseaux
Une vie laborieuse.
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Tilia a dit...
Nul bétail au pré
sous son grand édredon blanc
la prairie attend
Coucou Miss-Yves.
RépondreSupprimerDe la neige, toujours de la neige.
De mon enfance j'ai en souvenir avec de grands épisodes de neige.
Les "Haïkus" don tu semble te délecter, je n'ai pas la clef pour les décrypter !!!
C'est beau à lire, je ne suis pas sur d'en saisir toutes les subtilités...
Très bon weekend A + :))
Daniel: neige en mars...ce n'est pas courant, à la différence de l'hiver, dont j'ai aussi des souvenirs d'enfance.
RépondreSupprimerLa neige fond. Au-delà des jolies photos, elle a fait des dégâts.
Daniel: il me semble que le principal, c'est que tu trouve belle cette forme poétique.Merci pour l'attention que tu y prêtes.
RépondreSupprimerAtmosphère cotonneuse,
RépondreSupprimerC'est l'année de mars en blanc ;
paysages ouatés et beaux,
C'est le bonheur des enfants,
Et pour les petits oiseaux
Une vie laborieuse.
Bon wouik, Miss Yves !
un peu de vapeur chaude pour évaporer tout ce blanc!:))
RépondreSupprimerLa poésie japonaise convient parfaitement à nos paysages de la semaine !!!
RépondreSupprimerEt maintenant il pleut!!!!
A bientôt, on est débloqués depuis hier seulement!!!!
Je t'ai répondu sur mon autre blog.
RépondreSupprimerun no man's land blanc et gris mélancolique et poétique coupé par des barbelés.
RépondreSupprimerPour tes mots Daniel n'a pas à chercher de décodeur, il les trouve beaux à lire n'est-ce pas là l'essentiel?
Marguerite-Marie : c'est bien mon avis!
RépondreSupprimerDoublement merci.
RépondreSupprimerJe ne fus qu'inspirée en lançant cet écrit que j'ai pondu l'année dernière suite à une blogueuse d'Argentine qui aurait bien voulu trouver un poème pour accompagner ses photos sur Paris.
La prochaine parution sera plus longue à lire.
Je me suis régalée de ta magnifique bannière, ainsi que des photos et poésies hivernales !
RépondreSupprimerBonne soirée, Miss Yves !
Une photo qui reflète bien la mélancolie engendrée par l'hiver.
RépondreSupprimerNul bétail au pré
sous son grand édredon blanc
la prairie attend
Bon dimanche Miss Yves, avec du soleil :)
Merci, Tilia, à toi aussi. Peut-ëtre prépares -tu un billet bien documenté, comme ceux dont tu as le secret, sur...le printemps ?
RépondreSupprimerEspace feutré où le moindre bruit s'auto-amplifie. Des instants magiques où seule la buée et le bout des doigts peuvent réveiller brutalement et douloureusement...
RépondreSupprimerou le nez..
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