Haïku de voyages
1
Bosquet isolé
murs et toits entr'aperçus
qui habite là
2
Cabanon flottant
Voudrais-je changer de vie
J'embarquerais là
3
Au gré du courant
Voir défiler à l'envers
Le beau paysage
4
S'agite à rebours
Petit monde sur la berge
Vu de la péniche
Miss Yves
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RépondreSupprimerHello chère Miss_Yves et merci pour tes mots si savamment écrits ... et merci aussi pour la jolie photo du bateau qui passe.
Je te souhaite une bonne fin de semaine
BISOUS BISOUS BISOUS
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Bateau sur l'eau, la rivière, la rivière, bateau, sur l'eau, la rivière au bord de l'eau.
RépondreSupprimerclaude a bu? :-))
RépondreSupprimerLe niveau de l'eau semble bien haut.
ah je sais, claude a bu l'eau de la rivière.
RépondreSupprimerAu fil de l'eau le temps passe moins vite qu'en automobile ou dans le train alors on regarde, on suçote son crayon, on croque et on note....
RépondreSupprimerBien, tes haïkus !
RépondreSupprimerUne belle photo, qui me rappelle mes promenades en bordure de Seine et qui m'inspire un début de poème
Suivant le pas lent du chaland qui passe
le promeneur à pas lents se délasse
sans prétention ;-)
Rien de comparable avec ce vrai poème d'Émile Verhaeren :
Le Chaland
Sur l’arrière de son bateau,
Le batelier promène
Sa maison naine
Par les canaux.
Elle est joyeuse, et nette, et lisse,
Et glisse
Tranquillement sur le chemin des eaux.
Cloisons rouges et porte verte,
Et frais et blancs rideaux
Aux fenêtres ouvertes.
Et, sur le pont, une cage d’oiseau
Et deux baquets et un tonneau ;
Et le roquet qui vers les gens aboie,
Et dont l’écho renvoie
La colère vaine vers le bateau.
Le batelier promène
Sa maison naine
Sur les canaux
Qui font le tour de la Hollande,
Et de la Flandre et du Brabant.
La suite ici
Merci, Tilia pour ce beau poème.
RépondreSupprimerquand je pense que mon homme voulait une péniche...
RépondreSupprimerIl faut s'habituer à la vie à bord d'un bateau. C'est souvent de longues période en mer, suivies d'autre à terre.
RépondreSupprimerje ne sais pas ce qui s'est passé, mes deux messages se sont perdus peut-être se sont-ils noyés?
RépondreSupprimerj'en fais une synthèse:
"Aimons-nous ce soir sans penser
à ce que demain peut changer
au fil de l'eau point de serment
il n'y a que sur terre qu'on ment"
ce sont des paroles d'une chanson préférée de ma mère "le chaland"
j'aime beaucoup ce billet car rien de plus apaisant qu'une balade au fil de l'eau d'une rivière (sur mer c'est plus stimulant car moins cool)
J'ajoute de dédé ne semble pas avoir la même culture de base que Claude , moi et les autres... car bateau sur l'eau... a été le refrain que tous les bébés de France et de Navarre ont entendus assis sur des genoux d'une personne ramant doucement avec les bras du bébé... souvent très heureux!
J'aime ton image et tes poèmes !
RépondreSupprimerMarguerite-Marie: pas compris non plus...En tout cas, merci pour la synthèse et pour l'extrait de la chanson !
RépondreSupprimerOui, c'est une comptine qui fait rire aux éclat les bambins