Dans le parc
du Prieuré
l'atelier du peintre, construit pour lui par l'architecte Auguste Perret, attend d'être restauré...
Parmi la verdure, la puissance des statues de Bourdelle apporte une note de paganisme, saisissante et surprenante, vu la proximité avec la chapelle restaurée par Maurice Denis, attaché au renouveau de l'esprit chrétien.
Visite virtuelle du musée ici
http://www.musee-mauricedenis.fr/le-musee/article/le-batiment
Extrait du site du musée :
"Construit à la fin du XVIIe siècle, cet imposant bâtiment, aujourd’hui classé monument historique, est à l’origine un hôpital général royal fondé par Madame de Montespan pour abriter les indigents. L’édifice comporte une chapelle, un escalier à double révolution et de grandes salles éclairées de hautes fenêtres dominant un jardin qui s’étage sur le flanc de la colline de Saint-Germain-en-Laye.
Le peintre Maurice Denis fait l’acquisition de cette demeure en 1914 et la nomme « Le Prieuré ». Il y dispose déjà d’un atelier, construit pour lui dans le jardin par l’architecte Auguste Perret en 1912. Il entreprend de restaurer et d’aménager le vieil hôpital ainsi que le jardin qu’il affectionne particulièrement. Devenue un lieu harmonieux, cadre de sa vie familiale, cette maison est aussi un foyer de vie artistique et intellectuelle où il crée une grande partie de son œuvre et reçoit de nombreux amis et élèves"
Ayant aperçu une une sculpture semblable a Toulouse, j’ai tout de suite été vérifier sur Internet. Il me faut aller là un jour prochain… Pas très étonnant, Bourdelle est né à Montauban à 50 kilomètres d’ci.
RépondreSupprimerMerci!
SupprimerJ'ai lu ailleurs (où donc?)qu'il y avait eu plusieurs copies de cette sculpture.
Je n'avais pas souvenir de ce parc...il faut vraiment que j'y retourne un jour...
RépondreSupprimerCoucou Miss Yves.
RépondreSupprimerEncore une belle découverte.
Tu es intarissable.
Très bonne journée.
A + :o)
J'aime bien l'atelier, surtout la porte, elle rappelle celles des ateliers d'artiste de la rue Campagne première, plus particulière à celles que je connais, au neuf et au dix sept. Dans mon enfance et ma jeunesse il n'y avait pas trop verdure, maintenant si. Belle journée !
RépondreSupprimerRestauré, il serait encore mieux!
SupprimerCostaud et souple, Héraclès ! :-))
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup tes différents cadrages.
Une tite préférence pour la 6
Le cadrage d'herakles sur la 4 est celui qui illustre ou illustrait une célèbre marque de cahuers d'écoliers.
RépondreSupprimerPour la musculature du héros tu eux lire ce qu'indique le lien de Thérêse
une isite très intéressante tant par tes photos que par la vidéo!
RépondreSupprimeroups! visite
RépondreSupprimerJe m'en vais me renseigner sur le lien de Thérèse
RépondreSupprimerMerci chère poète !
Si je comprends bien ce ne fut jamais un prieuré que de nom... Cela me fait me souvenir avoir entendu que Colette était très impressionnée par le mot "presbytère". Il y a du recueillement dans ces mots.... >
RépondreSupprimerhttp://chat-plume.blog.fr/2008/01/24/l_amour_de_mots_episode_2_colette~3623627/
Ce devait être le cas de Gaston Leroux avec sa jolie phrase si mystérieuse:
Supprimer"le presbytère n'a rien pedu de son charme ni le jardin de son parfum "
PS : cette sculpture (Héraclès) est très connue et reproduite, comme le Balzac ou les Bourgeois de Calais de Rodin
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