mardi, septembre 20, 2016

Absence (Festival des bords de Vire -6)


Non, ce n'est pas une mise en scène de la pièce de Ionesco, les chaises, ni un lieu abandonné... quoique...

Mais une installation éphémère, bientôt rendue invisible avec la pousse de l'herbe en été, qui a pour titre Hortus conclusus  (jardin clos )et pour auteur Aïtor de Mendizabal.



11 commentaires:

  1. Coucou Miss Yves.
    Tout chavire...
    La nature reprend ces droits pour le bonheur des petites bestioles...
    Bonne semaine, A + ☼ ☺ ☼

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  2. Tableau fluctuant au rythme de la nature ♥

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  3. des chaises déchues !

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    1. Elles doivent être invisibles à présent (septembre) car entre le début de ces installations (début juillet ) et le mois d'août où je suis passée, l'herbe a poussé...

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    2. ll m'avait fallu accentuer le contraste pour qu'on les distingue, sur la photo

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  4. Cela fait un peu nostalgique ce jardin avec ces fauteuils dont les sièges ont été emportés par le vent. Mais, j’aime beaucoup le nom du sculpteur. Je n’ai jamais entendu le prénom Aïtor. Il faut le tréma sur le i, sinon ce serait ai tort ! Mais le nom complet est sensationnel. J’ai essayé de trouver sa bio, seulement qu’il est né à Caracas et sa carrière d’artiste sculpteur.

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  5. Vagabonde, vous avez RAISON, sans le tréma, ce prènom original donnerait "ai tort"!
    merci pour cet éclairagevet ce jeu sur les mots qui m'´avait èchappé!

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  6. L'herbe pousse puis elle s'affaisse puis elle sèche puis elle repousse... Ensuite ce sont de nouvelles plantes qui arrivent, ensuite ce sont les genêts, les fougères, les arbres, mais je ne crois pas que cela en arrivera là !

    Cette oeuvre me fait penser à cette "chambre" >

    http://cergipontin.blogspot.fr/2011/05/ferme-du-mont-des-recollets-59-la_31.html

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  7. doit on s'assoir pour bien regarder ?

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  8. Cela montre bien en effet que l'Homme se dissocie un peu trop souvent de la nature et y laisse surtout des traces inéffaçables. Le ramassage est-il prévu?

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