Ce sont surtout les divers outils, tout près du bord gauche de ta première photo, qui me fascinent..
Il y a aussi tout un secteur du musée de Caen (que tu connais sûrement) qui présente l'ameublement ainsi que les traditions normandes (notamment les charrues "de pays" et le travail des chevaux), je l'ai visité cet été.
Heureusement que les musées régionaux conservent cette mémoire du travail des artisans, ouvriers et paysans, sans lequels nous ne serions pas là. Ce qui me console un peu de la disparition du Musée national des arts et traditions populaires de Paris.
Il reste des selliers, des bourreliers, rares il est vrai et dont le métier coûte cher mais quel nobles métiers. Je guette toujours les rares portes ouvertes des "compagnons". Belles photos.
Une publication qui me met en joie ce matin. C'est important de se souvenir des métiers anciens. Certains perdurent bien évidemment. Je me rappelle bien du maréchal ferrant du Berry de mon enfance, de la petite Dame âgé qui faisait du rococo, du rémouleur qui passait dans le hameau et du marchand de peaux de lapin. Est-ce là-bas que j'avais vu un sabotier dans ses oeuvres.
J'ai l'impression qu'il y a un regain d'intérêt pour ces métiers qui ont disparu. Avec eux sont partis peut-être une partie de notre identité et certaines personnes essaient de revenir aux fondamentaux. Ce n'est pas pour me déplaire, au contraire.
manque l'odeur du cuir! c'est beau...
RépondreSupprimerCoucou Miss Yves.
RépondreSupprimerNostalgie! Nostalgie! L’intelligence des mains.
Très bonne semaine, A + 🐈
oui l'odeur est importante pour le souvenir !
RépondreSupprimerCe sont surtout les divers outils, tout près du bord gauche de ta première photo, qui me fascinent..
RépondreSupprimerIl y a aussi tout un secteur du musée de Caen (que tu connais sûrement) qui présente l'ameublement ainsi que les traditions normandes (notamment les charrues "de pays" et le travail des chevaux), je l'ai visité cet été.
Heureusement que les musées régionaux conservent cette mémoire du travail des artisans, ouvriers et paysans, sans lequels nous ne serions pas là. Ce qui me console un peu de la disparition du Musée national des arts et traditions populaires de Paris.
des métiers qui reprennent mais comme la mercerie plus que sur internet
RépondreSupprimerDans les régions où prime le 🐴 , comme en Normandie, les métiers du sellier et du bourrelier restent en pointe.
SupprimerIl reste des selliers, des bourreliers, rares il est vrai et dont le métier coûte cher mais quel nobles métiers. Je guette toujours les rares portes ouvertes des "compagnons".
RépondreSupprimerBelles photos.
Voir plus haut.
SupprimerLes. journées du patrimoine ou de l'artisanat proposent parfois des visites avec démonstrations.
Émouvantes images des métiers d'antan. Et jolie promenade fleurie qui nous fait rêver au printemps :-)
RépondreSupprimerUne publication qui me met en joie ce matin. C'est important de se souvenir des métiers anciens. Certains perdurent bien évidemment. Je me rappelle bien du maréchal ferrant du Berry de mon enfance, de la petite Dame âgé qui faisait du rococo, du rémouleur qui passait dans le hameau et du marchand de peaux de lapin. Est-ce là-bas que j'avais vu un sabotier dans ses oeuvres.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression qu'il y a un regain d'intérêt pour ces métiers qui ont disparu. Avec eux sont partis peut-être une partie de notre identité et certaines personnes essaient de revenir aux fondamentaux. Ce n'est pas pour me déplaire, au contraire.
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