"La peinture doit se débarrasser de l'immobilité pour devenir un moyen souple et riche pour exprimer nos émotions.
"Léopold Survage
La rigueur du cubisme, alliée à l'onirisme du surréalisme: voilà la surprise de Survage!
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la peinture (comme l'écriture) est une image cachée de nous même !
RépondreSupprimerUne peinture qui rejoint le rêve, les pensées qui défilent...J'aime cette vision "animée" de la peinture, elle invite au voyage, à conter l'image...
RépondreSupprimerBonne semaine printanière, Miss !
"Rigueur" c'est le terme, je dirais même que ce tableau est assez rigide comme tiré au cordeau, au té et à l'équerre...
RépondreSupprimerJ'ai remarqué que tu as ajouté un tableau de Wilfredo Lam sur ton précédent message, c'est curieux qu'il ait été placé à coté de la chaise de Braque, que tu l'aies photographié et que ne le sachant pas je t'aie parlé de ce peintre....
Oui, bizarre, d'autant plus que je ne me souviens pas vraiment de ce comm. dont tu parles , et que je ne le retrouve pas!
SupprimerMarque inconsciente qui m'aurait amenée à retrouver et à exposer cette photo du tableau de W . Lam?
Transmission de pensée?
Sur quel billet?
Il y a plus bizarre : l'impression étrange ressentie par Tilia devant un tableau de G . Manos et qui correspondait à une expérience morbide vécue par le peintre.
Autre chose bizarre , il a fallu que je revoie sérieusement mes notes et mes photos pour attribuer "la chaise " à son auteur, car je croyais aprês coup, que c'ètait de W . Lam, les cannelures et motifs en S accolés me faisant penser aux jungles souvent représentées par ce peintre,
SupprimerEt pourtant tu as publié le commentaire qui de façon détournée menait à Lam et Picasso >
Supprimerhttp://photograff.blogspot.fr/2017/04/filiforme.html
Sur le message que je donnais en lien >
http://cergie.blogspot.fr/2011/03/eglise-dauvers-sur-oise-95-sur-le-motif.html
... je citai Picasso qui disait à Lam :
"Je ne me suis jamais trompé sur toi. Tu es un peintre. C’est pour cela que j’ai dit la première fois que nous nous sommes vus que tu me rappelais quelqu’un : moi."
Phrase que j'avais relevée à l'expo consacrée à Lam, Picasso et Césaire au Grd Palais
Ah! c'est le seul lien que je n'ai pas envore regardé ( I phone )
SupprimerMerci pour l'explication.
Phrase assez étonnante. Faut -il y voir du narcissisme, ou plutôt lucidité quant à ce qui fait un artiste.
L'année dernière je suis allée voir une expo consacrée à Amadeo de Souza-Cardoso (1887-1918). Malheureusement ce peintre a disparu beaucoup trop jeune pour avoir laissé une empreinte forte dans la mémoire collective
RépondreSupprimerhttp://www.grandpalais.fr/fr/evenement/amadeo-de-souza-cardoso
Coucou. C'est un tableau qui raconte un nombre infini de choses. Il me fait penser un peu à du De Chirico. Bises et belle semaine!
RépondreSupprimerEn moins inquiétant, me semble-t-il...
RépondreSupprimerMerci, à toi aussi.
Coucou miss Yves.
RépondreSupprimerLà c'est du cubisme au sens propre (ou presque!)
Très bonne semaine, A +
J'aime cette présentation où le tableau est un peu de travers, pour moi il va très bien avec le tirage au cordeau de la composition.
RépondreSupprimerTu es gentille de transformer en qualité ce qui est un défaut !
RépondreSupprimer( il m'arrive assez souvent de photograhier de travers! J'aurais dû écouter ma mère qui m'enjoignait de me tenir droite(
Comme quoi...
SupprimerLa "Vison surréaliste" de Léopold Survage me plait bien.
RépondreSupprimerRien à redire du point de vue composition, ni de celui du style "tiré au cordeau" (comme l'a pointé Cergie :-))
La femme parait prisonnière de ces sortes de HLM et elle me semble éprise de liberté. Postée à sa fenêtre, elle tend les bras dans un geste donnant à penser qu'elle voudrait pouvoir s'envoler pour suivre le grand oiseau blanc qui traverse le ciel.
En citant De Chirico, Dédé voit juste. Quant à moi, j'ajouterai que la feuille me fait penser à Magritte.