mercredi, juin 03, 2020

Les rives de la Vire


      Promenades à pied, à vélo,en canoë, pêche, pique-nique, les distractions ne manquent pas sur les rives de la Vire .


 

Photo 1:

la  tache blanche à l'arrière-plan entre les deux arbres n'est autre qu'un parasol  sous lequel pique-niquait un groupe familial, version 2020 des canotiers dans un tableau post impressionniste - avec nymphéas .




                                         Cette année, pas de festival des bords de Vire à la date prévue, mais cette
5 ème édition sera décalée du 1er juillet au 17 juillet, avec quelques modifications et un vernissage aléatoire.



En attendant, le promeneur peut  revoir les oeuvres durables, dont celle-ci :



Vis, Vire, rives, ris.
........
 Xavier Gonzalès, directeur de l'usine Utopik , et le maire de Tessy /Vire étaient d'accord pour que ce festival de plein air ait lieu en juillet plutôt qu'à la rentrée de septembre .




La nature  n'y est pas un simple décor, mais le plus souvent, joue un rôle important dans les créations permanentes ou temporaire.



Une semaine avant le dé- confinement, les promeneurs ont pu s'imprégner des  couleurs et des parfums du mois de mai.



13 commentaires:

  1. Promenade agréable !
    Par contre, la statue, pas trop mon truc.
    Belle journée !

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  2. Coucou Miss Yves.
    Balade bucolique avec un peu de modernisme.
    La statue vaut que nous nous attardions pour enfin remarquer le lecteur juché sur le sommet de la croix ...
    Et un peu de romantisme.
    Heureusement que tu nous fait remarquer le déjeuner sur l'herbe (d' Édouard Manet) est sans beaucoup plus pudique !...
    Bonne journée, A +

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    1. Lointain, en tout cas .
      Et le parasol est peut-être d'un vert passé, comme le pense Lucie.

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  3. La photo 1 est belle grâce au contraste ombre et lumière qui fait paraître le feuillage au premier plan comme un rideau. Le parasol n'est pas blanc mais vert passé au soleil, du moins ainsi le vois-je.
    "Déconfinement" va entrer très vite dans les dicos. J'avais trouvé un article qui en parlait en espérant que l'on ne mettrait pas en avant un autre nouveau mot : "reconfinement" mais il semble que le virus soit en train de disparaître

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    1. Espérons!
      J'ai vu sur un de tes billets que tu écrivais "la" Covid, comme les Québécois, emploi du féminin que désapprouve Bernard Pivot !

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  4. Le fer n'est pas si pérenne, il rouille peut-être moins vite qu'en Guyane (où le bois est lui la proie des termites) mais il rouille tout de même !
    C'est curieux, je trouve que la nature (et le temps) galope moins vite depuis que nous sommes sortis de notre petit cercle

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  5. Joliment encadré par branches et arbres, le parasol nous intrigue. Aurions bien aimé nous approcher d'avantage du tableau impressionniste :-)
    Le sureau parfume. Notre fille nous a offert du vin de sureau. Étonnante et belle la sculpture, surtout quand elle est regardée de profil.

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  6. Quelle belle campagne... Elle dissuade de se ruer vers la mer. Où ai-je lu ou entendu qu'en Bretagne la mer est toujours à moins de 100 kms. Lorsque l'on réside dans... la Manche on n'en est pas loin non plus
    :-)
    Je viens de trouver dans la BAL (le facteur passe tard) une grosse enveloppe surprise ! Merci infiniment de toutes ces attentions auxquelles je ne m'attendais absolument pas ! Tu es une coquine !

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    1. Merci à toi!
      Mais le facteur devrait t'apporter un autre courrier (petit, celui-là) un jour ou l'autre.

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  7. L'avantage de nos plages, c'est qu'elles sont vastes.

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  8. je trotte de ville en ville.. mes jambes sont rouilles comme la sculpture ici ..c'est beau ..

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  9. Un grand bol d'air, du passé, du présent et du futur. Noyons nous dans la nature autant que nous pouvons avant la ruée, quoiqu'en s'éloignant on trouve toujours des coins protégés pour s'échapper du bruit de la ville qui est revenu. En fait je me suis aperçue que le matin on entend les bruits de la Rocade derrière la voix des oiseaux... pendant le confinement rien, le silence et les cris stridents des oiseaux.

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