Fils de charpentier, Julien Sorel rêve d’une brillante carrière militaire. Mais les guerres napoléoniennes ont pris fin et la société de la Restauration ferme ses portes aux roturiers.
Sous couvert de l’habit de séminariste, et à force d’adresse et de conquêtes amoureuses — Mme de Rênal, femme du maire de Verrière, puis Mathilde, fille du marquis de La Mole —, Julien parvient pourtant à s’élever dans la société.
La chute n’en sera que plus rude. Publié en 1830, peu après l’avènement de la monarchie de Juillet, ce roman saisit « la senteur cadavéreuse d’une société qui s’éteint » (Balzac).
Buenas vistas, de unos antiguos edificios.
RépondreSupprimerUn abrazo.