A Saint-Brieuc
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Fresque de Ronan Pincemin
"Le steampunk est un mouvement culturel qui mêle l'esthétique et la technologie du XIXème siècle à des éléments de science-fiction.
Ses œuvres littéraires et audiovisuelles se déroulent dans une réalité alternative où le progrès technologique est basé non pas sur l'électricité, mais sur la machine à vapeur."
Madame
Madame, et plus anciennement Madame Moustache, pseudonyme d'Aurélie Ludivine Bidault, née le 1ᵉʳ août 1982, est une artiste visuelle, street artiste et collagiste de rue française originaire de Tours, Indre-et-Loire.
"Aucun lien ne s'est tissé avec la crainte de faire des noeuds"
Originaire de Saint-Brieuc, CART 1( l'artiste de cette fresque) a peint là un souvenir qui l'avait frappé du temps où il était adolescent (en 1990).
Cette fresque a été réalisée dans le cadre de la troisième édition du festival d’art urbain « Just Do Paint » de Saint-Brieuc en 2020
Elle est l’œuvre de Cart :1, un artiste qui connait bien la ville.
Avec sa peinture, il a souhaité se replonger dans son adolescence à Saint-Brieuc à travers deux moments qu’il a vécu comme forts.
D’abord en 1990, Public Enemy, groupe de Rap Américain, défraie la chronique après des propos anti-blanc. Programmé au festival Art Rock, le concert se jouera à guichets fermés, mais marquera la cité.
Ensuite en 1997 où il doit trouver une solution provisoire de logement dans un wagon désaffecté au port du Légué.
Pour lui, Saint-Brieuc restera longtemps un haut lieu du mouvement Punk en France.
Elle est l’œuvre de Cart :1, un artiste qui connait bien la ville.
Avec sa peinture, il a souhaité se replonger dans son adolescence à Saint-Brieuc à travers deux moments qu’il a vécu comme forts.
D’abord en 1990, Public Enemy, groupe de Rap Américain, défraie la chronique après des propos anti-blanc. Programmé au festival Art Rock, le concert se jouera à guichets fermés, mais marquera la cité.
Ensuite en 1997 où il doit trouver une solution provisoire de logement dans un wagon désaffecté au port du Légué.
Pour lui, Saint-Brieuc restera longtemps un haut lieu du mouvement Punk en France.
Des murs qui parlent... jusque là ils murmuraient...
RépondreSupprimeroh! joli jeu de mots!
RépondreSupprimerMissyves
Buenos murales acompañan, los edificios de esa gran ciudad.
RépondreSupprimerUn abrazo.
J'aime bien le portrait de la femme. Moi, j'aime bien quand les murs me parlent joliment.
RépondreSupprimerBelle journée !
Claude
"Des murs qui parlent": attention, ils ont aussi "des oreilles"
RépondreSupprimerTrès jolie citation ! Après coup on s'aperçoit que les nœuds aussi sont nécessaires :-)
Merci pour Victor Hugo, Miss !
Bravo Miss Yves pour ce choix des plus judicieux : trois images murales, trois sages messages d’importance plus ou moins primordiale.
RépondreSupprimerCoup de cœur pour la première : suis fan de Steampunk ! Les ballons pour la balade, et les dirigeables pour les longs trajets, voilà des moyens de transport écologiques.
Deuxième image, le message de l'artiste Madame, sur la place au Lin, "Aucun lien ne se tisse avec la crainte de faire des nœuds" me semble des plus évidents : On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, autrement dit "Qui ne risque rien, n’obtient rien".
Dernière image, mais pas des moindres pour autant, le geste menaçant du personnage (imitant le braquage d'un révolver sur le spectateur) m'a mise mal à l'aise ; d'autant plus qu'il ne s'agit visiblement pas d'un blanc.
Par chance, j'ai trouvé pourquoi, et vers qui, cet index est pointé.
Originaire de Saint-Brieuc, Cart 1 (l'artiste de cette fresque) a peint là un souvenir qui l'avait frappé du temps où il était adolescent (en 1990).
Quant au geste menaçant de Public Enemy, il dénonce le racisme de toutes les personnes qui ne supportent pas les noirs sur leur territoire.
Merci, Tilia pour toutes tes recherches que j’ajouterai, avec ton nom bien sûr sur ce billet.
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