Autant la Madone de Jaro Hilbert est immatérielle, évanescente,
autant ses "femmes algériennes "sont ancrées dans leur terre natale, lui empruntant une matérialité de terre cuite et recuite sous un soleil implacable .
De nombreuses vitrines ont choisi de mettre en valeur les femmes portraiturées dans cette exposition hors musée.
ll est vrai qu'elles le sont déjà à l'intérieur du musée.
Marc Garanger
RépondreSupprimera réalisé des portraits de femmes algériennes à l'époque avec difficulté devant leur timidité du fait d'avoir à baisser leur voile et cela se voit. Cela n'empêche pas de voir l'effet du soleil et de la vie dure qui en découle sur leurs visages.
Merci,Thérèse, pour ce lien très intéressant.
SupprimerCoucou Miss Yves.
RépondreSupprimerExposition cosmopolite !
Tout comme le monde est...
Très bonne journée, A +
Merci, à toi aussi.
SupprimerJe trouve que l'idée d'exposer des tableaux dans des vitrines de magasin est très bonne. On découvre les oeuvres parmi les reflets, c'est génial.
RépondreSupprimerJouons avec les reflets !
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