De la nature morte au portrait
Les portraits de Théodule Ribot n'ont rien de mièvre ni de flatteur.
Sur fond noir se détachent des figures de musiciens (pour lesquels sa famille a posé), des visages d'humbles personnages ou de vieilles femmes (le parallèle avec J-F.Millet est frappant),
se détachent des regards attentifs, voire avides d'usuriers, d'usurières, ou tout bonnement de commerçants, d'artistes faisant le bilan d'une maigre recette, rappelant que toute sa vie, l'artiste a souffert du manque d'argent.
https://mba.caen.fr/exposition/theodule-ribot
(Publication automatique: réponses à vos commentaires plus tard .)
Coucou Miss Yves.
RépondreSupprimerToujours des découverte chez toi..
Très bon weekend, A +
Merci, à toi aussi.
SupprimerMille excuses, mais je les trouve tous tristes ces tableaux, par contre la Tricoteuse a un beau cadre. Jolie ta bannière !
RépondreSupprimerVue du Mont Royal...à Montréal !
SupprimerDécouverte de Th. Ribot il n'y a pas si longtemps. Des tableaux magnifiques avec ces contrastes uniques! L'art de mettre les détails en valeur.
RépondreSupprimerOù donc l'as-tu découvert ?
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