dimanche, septembre 21, 2014

Nouvelles virées au festival'Vire

Gilles Appert



9 commentaires:

  1. tout d'abord, laisse moi te dire combien j'ai été intéressée par ton message précédent (avec tes liens et celui de Tilia)
    je vois qu'on revient vers les installations du festival:les explications me conviennent même si je n'y aurais sans doute pas pensé en regardant simplement les lianes géométriques colorées

    RépondreSupprimer
  2. Je trouve cela amusant...mais les arbres je les préfère "nature" !

    RépondreSupprimer
  3. Beaucoup d'humour, de poésie, de générosité dans cette démarche !

    RépondreSupprimer
  4. à chaque branche..son cadre!

    RépondreSupprimer
  5. Cela me laisse pensive. Il faut de l'imagination débordante pour voir des lianes, de couleurs, passe encore, mais carrées... Moi, je voyais plutôt des cadres.
    Je suis comme Josette, je préfère les arbres nature ou habillés de petites maisons à oiseaux.

    RépondreSupprimer
  6. Coucou Miss Yves.
    Qu'ont ils donc fait au bon dieu ses pauvres arbres pour être martyrisé de la sorte ?
    Quand un mécréant parle du bon dieu, l'instant est grave... lol
    Très bonne semaine.
    A + :o)

    RépondreSupprimer
  7. La nature m'a offert un peu le même spectacle dans le jardin : une pousse de clerodendron a traversé un gratte-pied. J'attends que les feuilles tombent pour l'enlever (le cadre, pas la pousse)

    Quant au marronnier de la presse, j'avais orienté mon message en ce sens au début (et aussi vers l'idée d'ogive). L'automne revient tous les ans....

    RépondreSupprimer
  8. Tes textes sont toujours très subtils, l'allusion et l'implicite y fleurissent

    RépondreSupprimer
  9. Alors si on fait marcher l'imagination la deuxieme photo de ce collage me fait penser a un troll dans un arbre...:-)
    C'est la representation de l'imagination de l;artiste qui a parle dans ces cadres/lianes. Il faut avouer que ce n'est pas tres romantique.

    RépondreSupprimer

Journée des peintres (2)

à l'abbaye de Cerisy-la -Forêt  Pauline Bailly,qui a exposé à Gratot ,  a mis en scène une femme-nuage dont le cou s'orne d'un c...